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E-réputation : opportunité ou obstacle ?

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e-réputation

L’e-réputation d’une entreprise peut conduire au succès ou à l’échec. Il faut être constant et prudent pour avoir une image bien valorisée en ligne.

Si vous pensez qu’en ayant un site web, en créant une page de soutien sur Facebook, un compte Twitter et un blog, votre entreprise a déjà accompli la tâche d’être présente sur Internet, vous avez tort.

Pour être active, chaque action doit s’inscrire dans une stratégie étudiée qui conduira l’entreprise à atteindre ses objectifs et à maintenir une e-réputation positive.

Ce concept est né en 2008 en tant que discipline distincte de la réputation des médias traditionnels (que beaucoup ont appelé “réputation hors ligne”), capable de mesurer et de gérer la perception que les internautes ont d’une marque, d’une entreprise, d’un service ou d’une personne.

C’est une sorte d’analogie : l’e-réputation et la réputation hors ligne sont comme la santé mentale et la santé physique, bien que les deux soient très différentes, pour que tout aille bien, les deux doivent être en parfaite harmonie. Il y a des marques qui ont beaucoup de succès dans le monde hors ligne mais qui sont très mal vues par les internautes.

La réputation hors ligne est gérée par les agences de relations publiques ou les annonceurs grâce à leur influence dans les médias traditionnels (presse, radio, télévision), où l’entreprise a le contrôle total de ce qu’elle veut transmettre et, en général, il n’y a pas d’interaction avec les utilisateurs.

En revanche, la réputation d’une marque sur l’internet a acquis ses propres règles du jeu. 

Sur le web, cette réputation se construit petit à petit au fil des interactions avec les consommateurs ou les clients potentiels. Elle est façonnée par les opinions, les recommandations et le partage d’informations.

L’e-réputation a deux territoires sur lesquels elle peut jouer ses cartes : les moteurs de recherche, où ce qui compte, c’est que les utilisateurs trouvent l’entreprise dans les premières positions des résultats lorsqu’ils effectuent des recherches dans des moteurs tels que Google en rapport avec le travail de l’entreprise. Un deuxième domaine de concurrence est celui des réseaux sociaux, où le plus important est la quantité et la qualité de l’interaction que l’organisation entretient avec les utilisateurs.

Dans les deux cas, la réputation se forme sur la base des réponses générées par les internautes aux actions mises en œuvre par l’entreprise dans l’un ou l’autre domaine : dans le premier, on attend du positionnement, de la reconnaissance, l’attraction de nouveaux adeptes, clients, supporters ou amis, et l’atteinte d’un plus grand nombre de personnes. Dans les réseaux sociaux, en revanche, on attend de la cohésion, de la loyauté, de l’enthousiasme et de la passion pour la marque.

Un mauvais résultat dans l’un ou l’autre de ces domaines pourrait générer exactement le contraire de ce que l’on attend. C’est pourquoi il est si important et stratégique de faire un bon travail de gestion d’e-réputation.

Ne laissez pas votre e-réputation entre de mauvaises mains !

L’image sur Internet est une question délicate, notamment en raison de la rapidité avec laquelle les messages sont diffusés dans le monde entier, car il n’y a pas de frontières géographiques sur la toile, pas de bureaucratie pour arrêter un commentaire, une protestation ou une demande massive.

Les mauvais coups comme les bonnes actions deviennent viraux en quelques minutes et l’influence que ce message a sur les personnes qui le reçoivent est incalculable, pour le meilleur ou pour le pire.

À ce stade, vous pouvez penser que la présence sur Internet est une arme à double tranchant, et c’est vrai, mais en même temps, de nombreuses entreprises ont montré qu’il est possible de faire un bon travail de renforcement d’image grâce aux réseaux sociaux.

C’est pourquoi la conception et la mise en œuvre d’une stratégie d’e-réputation exigent bien plus que d’être un geek passionné. Il s’agit d’une tâche qui doit être menée à bien par de véritables professionnels du domaine.

Il doit s’agir d’une personne formée, capable de gérer les situations de crise de la bonne manière. La plupart des interactions se font par écrit, c’est pourquoi ce poste doit être occupé par une personne qui écrit bien, qui a des compétences en relations publiques et en marketing, qui a une connaissance approfondie du fonctionnement d’Internet et des réseaux sociaux, qui est constamment informée de l’actualité et qui a un sixième sens pour distinguer les interactions spontanées des interactions malveillantes.

En conclusion, il y aura toujours une personne qui devra faire face aux situations de crise, et si cette personne n’a pas les capacités suffisantes, elle devra demander de l’aide à la direction, la réponse sera beaucoup plus longue à donner et le problème pourrait prendre des dimensions plus importantes.

Être bon dans la vie réelle et virtuelle

L’e-réputation est sans aucun doute façonnée par les expériences, positives ou négatives, des utilisateurs dans la vie hors ligne, dans leur relation (virtuelle et réelle) avec leurs connaissances. Par conséquent, bien que les clients aient la capacité d’améliorer ou de nuire à votre image, c’est vous qui avez le pouvoir de transformer chaque interaction avec eux en une occasion d’améliorer votre réputation.

Sur internet, ce qui compte c’est de ne jamais décevoir ses clients.

Si vous avez besoin d’aide en matière d’e-réputation, n’hésitez pas à contacter Laudans.

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Hedy Lamarr : Star hollywoodienne et inventrice ingénieuse

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Le portrait de Hedy Lamarr

Hedy Lamarr était une femme aux multiples talents qui a marqué le XXe siècle. D’un côté, elle était une actrice glamour et célèbre, connue pour ses rôles dans des films comme “Extase” et “Samson et Dalila”. De l’autre, elle était une inventrice ingénieuse qui a contribué à des technologies révolutionnaires comme le code à barres, le Wi-Fi et le GPS.

Une enfance et une jeunesse viennoises (1914-1933)

Née Hedwig Kiesler en 1914 à Vienne, en Autriche, Hedy Lamarr a grandi dans un milieu aisé et cultivé. Son père était banquier et sa mère pianiste. Dès son plus jeune âge, elle se montre passionnée par les sciences et la technologie, domaines traditionnellement masculins à l’époque. Elle développe également un talent pour la scène et le cinéma, jouant dans des pièces de théâtre et des films dès son adolescence.

En 1933, à l’âge de 19 ans, elle se fait connaître grâce à son rôle dans le film “Extase”, qui la propulse au rang de star internationale. Ce film, qui la montre nue dans certaines scènes, est considéré comme l’un des premiers films “explicites” de l’histoire du cinéma. Il crée un scandale et attire l’attention sur Hedy Lamarr, qui devient une célébrité du jour au lendemain.

Voici une vidéo présentant cette actrice :

Une star hollywoodienne (1933-1940)

Suite au succès d’Extase, Hedy Lamarr signe un contrat avec la Metro-Goldwyn-Mayer et s’installe à Hollywood. Elle devient l’une des actrices les plus glamour de l’époque, rivalisant avec des stars comme Greta Garbo et Joan Crawford. Elle joue aux côtés de grands acteurs comme Clark Gable et James Stewart dans des films à succès tels que “Samson et Dalila” (1949) et “Tortilla Flat” (1942).

Sa beauté et son talent font d’elle une icône du cinéma hollywoodien. Elle est connue pour ses rôles de femmes fatales et exotiques, et sa vie privée est souvent alimentée par des rumeurs et des scandales.

Une inventrice passionnée (1930-1950)

En dehors de sa carrière d’actrice, Hedy Lamarr se consacre à sa passion pour l’invention. Elle est fascinée par les sciences et la technologie et passe beaucoup de temps à lire des livres et des articles scientifiques. Elle est également une bricoleuse accomplie et aime expérimenter de nouvelles idées.

Au cours de sa vie, elle dépose plusieurs brevets, dont un pour un système de communication secret qui a été utilisé par les Alliés pendant la Seconde Guerre mondiale. Elle invente également un procédé pour améliorer les ailes d’avion, un feu de signalisation pour les secours en mer et une version précoce du code à barres.

Le système de brouillage radio (1941)

En 1941, Hedy Lamarr et le compositeur George Antheil inventent un système de brouillage radio qui utilise la technique du “saut de fréquence”. Ce système permet de protéger les communications militaires contre les interceptions ennemies. Il est considéré comme une contribution majeure à la victoire des Alliés pendant la guerre.

Le système de Lamarr et Antheil est basé sur une technologie appelée “saut de fréquence”. Cette technologie consiste à changer de fréquence radio aléatoirement et à intervalles réguliers. Cela rend les communications très difficiles à intercepter et à décrypter.

D’autres inventions et contributions (1940-1960)

Hedy Lamarr ne s’est pas arrêtée au système de brouillage radio. Elle a également inventé un procédé pour améliorer les ailes d’avion, un feu de signalisation pour les secours en mer et une version précoce du code à barres.

Une reconnaissance tardive et un héritage durable (1960-2000)

Malgré ses contributions importantes, Hedy Lamarr n’a pas été reconnue à sa juste valeur de son vivant pour ses inventions. Son travail sur le système de brouillage radio a été classé secret pendant des années et elle n’a jamais reçu de compensation financière pour son invention.

Ce n’est que dans les années 1990 que son travail a été redécouvert et célébré. En 1997, elle a reçu le prix Pioneer Award de l’Electronic Frontier Foundation pour ses contributions à la technologie. Elle est décédée en 2000 à l’âge de 85 ans.

L’héritage d’Hedy Lamarr est immense. Elle a montré que les femmes peuvent exceller dans des domaines traditionnellement masculins et que les inventions peuvent avoir un impact réel sur le monde. Son histoire est une source d’inspiration pour tous ceux qui rêvent de faire une différence.

Une inspiration pour les femmes et les inventeurs

Hedy Lamarr est une inspiration pour les femmes et les inventeurs du monde entier. Elle a brisé les barrières dans deux domaines traditionnellement masculins et a laissé un héritage durable. Son histoire montre que les femmes peuvent être des scientifiques et des inventrices brillantes, et que leurs contributions peuvent avoir un impact majeur sur le monde.

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Alice Devès : comment elle vit son handicap avec dignité et humour

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Le parcours remarquable d'Alice Devès

Alice Devès est la co-fondatrice de Petite Mu, le premier média qui sensibilise aux handicaps invisibles. Atteinte de sclérose en plaques, elle raconte comment elle a transformé cette épreuve en opportunité de changer les regards sur le handicap. Avec son équipe, elle propose des contenus originaux, authentiques et drôles pour briser les tabous et libérer la parole. Voici son histoire.

Un diagnostic qui bouleverse sa vie

En août 2021, Alice Devès apprend qu’elle a une sclérose en plaques, une maladie neurologique qui affecte le système nerveux central. Elle a alors 27 ans et travaille comme chef de projet marketing dans une start-up. Elle ne s’attendait pas à ce verdict, qui remet en question son avenir personnel et professionnel.

Elle passe par une phase de déni, puis d’acceptation difficile. Elle doit faire le deuil de sa santé antérieure et apprendre à vivre avec les symptômes de la maladie : fatigue, douleurs, troubles cognitifs… Elle se rend compte que le handicap invisible a un impact social important : elle sort moins, elle est moins performante au travail, elle se sent incomprise et isolée.

Voici une vidéo présentant cette femme :

Une envie de créer un média qui lui ressemble

Alice Devès cherche alors des informations, des témoignages, des parcours inspirants sur la sclérose en plaques et les handicaps invisibles. Mais elle ne trouve rien qui lui corresponde. Elle a envie de lire des histoires vraies, sans tabou ni pathos, avec de la spontanéité et de l’humour.

Elle décide alors de contacter Anaëlle Marzelière, une ancienne camarade d’études, qui est directrice artistique et dessinatrice. Ensemble, elles imaginent un média qui apporte un nouveau regard sur le handicap invisible, en mêlant théorie et témoignages, bande dessinée et vidéo, humour et émotion. Elles le baptisent Petite Mu, en référence à la lettre grecque mu qui symbolise le coefficient de friction.

Un média qui sensibilise aux handicaps invisibles

Petite Mu voit le jour en mai 2022. C’est le premier média qui sensibilise aux handicaps invisibles en France. Il s’adresse aux personnes concernées par ces handicaps, mais aussi à leurs proches, aux professionnels de santé, aux employeurs et au grand public.

Le média aborde des thématiques variées : la santé mentale, les maladies chroniques, les troubles du spectre autistique, la dyslexie, le TDAH… Il propose des contenus originaux et créatifs : des bandes dessinées, des podcasts, des vidéos, des articles… Il adopte un ton authentique et drôle : il ne se prend pas au sérieux, il dénonce les clichés, il fait rire et réfléchir.

Un média qui accompagne les entreprises sur l’inclusion

Petite Mu est aussi une agence qui accompagne les entreprises sur l’inclusion des personnes en situation de handicap invisible. Elle propose des formations, des conférences, des ateliers pour sensibiliser les collaborateurs et les managers à cette thématique.

Alice Devès intervient régulièrement dans les entreprises pour partager son expérience et ses conseils. Elle explique que le handicap invisible concerne 11% des salariés en France et qu’il est souvent mal compris ou ignoré. Elle insiste sur l’importance de libérer la parole, d’adapter les conditions de travail, de valoriser les compétences et de lutter contre les discriminations.

Une femme qui vit son handicap avec dignité et humour

Alice Devès est une femme qui vit son handicap avec dignité et humour. Elle n’a pas laissé la sclérose en plaques l’empêcher de réaliser ses rêves. Elle a créé un média qui lui ressemble et qui fait du bien à des milliers de personnes. Elle est un exemple de résilience, de courage et d’optimisme.

Elle nous invite à changer notre regard sur le handicap invisible, à le reconnaître, à le respecter, à le soutenir. Elle nous montre que le handicap n’est pas une fatalité, mais une richesse. Elle nous fait rire, elle nous émeut, elle nous inspire.

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Les conseils de Richard Saint Guilhem pour évaluer la valeur d’un espace commercial

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L'estimation de la valeur d'un espace commercial selon Richard Saint Guilhem

Vous envisagez d’acheter ou de vendre un espace commercial, mais vous ne savez pas comment estimer sa valeur ? Il existe plusieurs méthodes et critères pour évaluer la valeur d’un bien immobilier à usage commercial, en fonction de son emplacement, de sa surface, de sa situation locative et de son état. Richard Saint Guilhem va vous présenter les différentes méthodes et les facteurs qui influencent la valeur d’un espace commercial.

La méthode du coût

La méthode du coût consiste à estimer le coût de construction de l’espace commercial, en ajoutant la valeur du terrain et en déduisant la dépréciation due à l’usure ou à l’obsolescence, explique Richard Saint Guilhem. Cette méthode est surtout utilisée pour les constructions neuves, les bâtiments industriels ou les bâtiments à usage unique, comme une école, une aréna, une église, etc.

Voici quelques conseils utiles en vidéo :

La formule de la méthode du coût est la suivante :

Valeur de l’espace commercial = valeur du terrain + coût des aménagements dépréciés + coût du bâtiment déprécié

La méthode des comparables vendus expliquée par Richard Saint Guilhem

La méthode des comparables vendus consiste à comparer les prix des espaces commerciaux ayant été récemment vendus dans le même secteur ou dans un secteur similaire. Cette méthode est très populaire et est surtout utilisée dans le domaine résidentiel. Elle permet de tenir compte du principe de l’offre et de la demande, qui influence le prix du marché, indique Richard Saint Guilhem.

Pour appliquer la méthode des comparables vendus, il faut diviser le prix vendu par le nombre de pieds carrés que compte l’espace commercial, note Richard Saint Guilhem. Il faut ensuite ajuster le résultat en fonction des caractéristiques propres à chaque bien, comme l’emplacement, l’agencement, l’état, etc.

La méthode des revenus

La méthode des revenus consiste à évaluer la valeur d’un espace commercial sur la base des revenus annuels qu’il génère ou qu’il peut générer. Cette méthode est utilisée pour les espaces commerciaux occupés ou destinés à être loués, indique Richard Saint Guilhem. Elle permet de mesurer la rentabilité d’un investissement immobilier.

Pour appliquer la méthode des revenus, il faut d’abord calculer les revenus nets de l’espace commercial, en soustrayant les dépenses aux revenus bruts, explique Richard Saint Guilhem. Ensuite, il faut multiplier les revenus nets par un taux de rendement, qui varie entre 5 % et 10 % selon le type et le risque de l’investissement.

La formule de la méthode des revenus est la suivante :

Valeur de l’espace commercial = revenus nets x taux de rendement

Les critères qui influencent la valeur d’un espace commercial

Quelle que soit la méthode utilisée, il existe plusieurs critères qui influencent la valeur d’un espace commercial. Voici les principaux :

  • L’emplacement : c’est le critère le plus important, car il détermine le potentiel de fréquentation et de chiffre d’affaires. Plus l’espace commercial se situe dans une zone attractive (centre-ville, zone commerciale, rue piétonne, zone touristique…), plus il aura de la valeur.
  • La surface : c’est le critère qui permet de mesurer la capacité d’accueil et d’exposition de l’espace commercial. Plus l’espace commercial est grand, plus il aura de la valeur, à condition qu’il soit adapté à l’activité exercée.
  • La situation locative : c’est le critère qui permet d’évaluer le risque et la rentabilité de l’investissement. Plus l’espace commercial est occupé par un locataire solvable et fidèle, plus il aura de la valeur. À l’inverse, un espace commercial vacant ou occupé par un locataire précaire aura moins de valeur.
  • L’état : c’est le critère qui permet d’apprécier la qualité et le confort de l’espace commercial. Plus l’espace commercial est récent, bien entretenu et conforme aux normes, plus il aura de la valeur.

Pour conclure, il n’existe pas de méthode universelle pour évaluer la valeur d’un espace commercial. Il faut choisir la méthode la plus adaptée au type et à la situation du bien, en tenant compte des différents critères qui influencent sa valeur. Il est également conseillé de faire appel à un professionnel de l’immobilier, qui pourra vous aider à réaliser une estimation fiable et objective.

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