Dans cet article, nous allons nous intéresser à la question de la responsabilité des entreprises en matière de droits humains, en nous appuyant sur les travaux de Delphine Patétif, diplômé en droit de l’homme. Delphine Patetif a publié plusieurs études et articles sur la façon dont les entreprises peuvent respecter et promouvoir les droits humains dans le cadre de leurs activités, en particulier dans un contexte de mondialisation et de complexité juridique. Nous allons présenter les principaux points de vue de Delphine Patetif sur les enjeux, les acteurs et les outils de la responsabilité des entreprises en matière de droits humains, en structurant notre article en cinq sous-titres.
Les enjeux de la responsabilité des entreprises en matière de droits humains, selon Delphine Patetif
Selon Delphine Patetif, la responsabilité des entreprises en matière de droits humains est un enjeu majeur pour le XXIe siècle, car les entreprises ont un impact direct ou indirect sur les droits fondamentaux des personnes affectées par leurs activités, que ce soit leurs employés, leurs clients, leurs fournisseurs, leurs actionnaires ou les communautés locales. Delphine Patetif souligne que les entreprises peuvent être à l’origine de violations des droits humains, mais aussi contribuer à leur protection et à leur réalisation.
Par exemple, les entreprises peuvent porter atteinte au droit au travail, au droit à la santé, au droit à l’environnement ou au droit à la vie privée, mais aussi favoriser le droit à l’éducation, le droit à la participation, le droit à la non-discrimination ou le droit au développement. Delphine Patetif affirme que la responsabilité des entreprises en matière de droits humains n’est pas seulement une obligation morale ou juridique, mais aussi un facteur de performance et de compétitivité pour les entreprises, qui peuvent ainsi renforcer leur légitimité sociale, leur réputation, leur innovation et leur fidélisation.
Voici une vidéo relatant ces faits :
Quel est le rôle des États dans la responsabilité des entreprises en matière de droits humains ?
Delphine Patetif rappelle que les États ont le devoir premier de protéger les droits humains contre toute atteinte, y compris celles commises par les entreprises. Delphine Patetif insiste sur la nécessité pour les États de mettre en place un cadre juridique clair et cohérent pour réguler les activités des entreprises et garantir l’accès à la justice et à la réparation pour les victimes de violations des droits humains.
Delphine Patetif cite comme exemples de bonnes pratiques législatives la loi française sur le devoir de vigilance des sociétés mères et des entreprises donneuses d’ordre, adoptée en 2017, qui impose aux grandes entreprises françaises d’identifier et de prévenir les risques d’atteintes aux droits humains liés à leurs activités et à celles de leurs filiales et sous-traitants ; ou encore la loi britannique sur l’esclavage moderne (Modern Slavery Act), adoptée en 2015, qui oblige les grandes entreprises britanniques à publier chaque année un rapport sur les mesures prises pour prévenir et combattre le travail forcé et la traite des êtres humains dans leurs chaînes d’approvisionnement.
Quelle est la responsabilité des entreprises en matière de droits humains ?
Delphine Patetif défend l’idée que les entreprises ont une responsabilité propre et autonome en matière de droits humains, qui va au-delà du respect du cadre juridique établi par les États. Delphine Patetif se réfère aux Principes directeurs relatifs aux entreprises et aux droits de l’homme, adoptés par le Conseil des droits de l’homme des Nations unies en 2011, qui définissent la responsabilité des entreprises comme celle de « respecter les droits de l’homme », c’est-à-dire « d’éviter d’avoir des incidences négatives sur ces droits ou d’y contribuer et d’atténuer celles qui sont directement liées à leurs activités ou à leurs relations commerciales ».
Delphine Patetif explique que cette responsabilité implique pour les entreprises de mettre en œuvre un processus de diligence raisonnable en matière de droits humains, qui consiste à identifier, prévenir, atténuer et rendre compte des incidences négatives sur les droits humains liées à leurs activités. Delphine Patetif précise que cette responsabilité s’applique à toutes les entreprises, quels que soient leur taille, leur secteur ou leur lieu d’implantation, et à toutes les situations, y compris celles où le cadre juridique est défaillant ou inexistant.
Quels sont les acteurs impliqués dans la responsabilité des entreprises en matière de droits humains ?
Delphine Patetif souligne que la responsabilité des entreprises en matière de droits humains ne peut se réaliser sans la participation et la collaboration de tous les acteurs concernés par les activités des entreprises. Delphine Patetif distingue trois catégories d’acteurs : les parties prenantes internes, les parties prenantes externes et les parties prenantes institutionnelles. Les parties prenantes internes sont celles qui font partie de l’entreprise, comme les dirigeants, les employés, les actionnaires ou les syndicats. Delphine Patetif estime que ces acteurs ont un rôle clé pour intégrer les droits humains dans la stratégie, la gouvernance, la culture et les pratiques de l’entreprise. `
Les parties prenantes externes sont celles qui sont affectées par ou qui ont un intérêt dans les activités de l’entreprise, comme les clients, les fournisseurs, les sous-traitants, les concurrents, les ONG, les médias ou les communautés locales. Delphine Patetif considère que ces acteurs ont un rôle essentiel pour dialoguer avec l’entreprise, lui faire part de leurs attentes et de leurs préoccupations en matière de droits humains, et exercer une influence positive ou négative sur son comportement. Les parties prenantes institutionnelles sont celles qui ont une autorité ou une compétence sur l’entreprise, comme les États, les organisations internationales, les institutions financières ou les organismes de normalisation. Delphine Patetif juge que ces acteurs ont un rôle important pour encadrer, soutenir, contrôler et sanctionner l’entreprise dans le respect de ses obligations et de sa responsabilité en matière de droits humains.
Delphine Patetif présente les outils disponibles pour la responsabilité des entreprises en matière de droits humains
Delphine Patetif présente les différents outils dont disposent les entreprises et les autres acteurs pour mettre en œuvre la responsabilité des entreprises en matière de droits humains. Delphine Patetif distingue quatre types d’outils : les outils normatifs, les outils opérationnels, les outils d’évaluation et les outils de réparation. Les outils normatifs sont ceux qui énoncent des principes, des standards ou des recommandations en matière de droits humains applicables aux entreprises. Delphine Patetif cite comme exemples le Pacte mondial des Nations unies (Global Compact), qui invite les entreprises à adhérer à dix principes universels relatifs aux droits humains, au travail, à l’environnement et à la lutte contre la corruption ; ou encore la norme ISO 26000 sur la responsabilité sociétale des organisations (RSO), qui fournit des lignes directrices aux organisations pour intégrer les droits humains dans leurs activités.
Les outils opérationnels sont ceux qui aident les entreprises à mettre en pratique leur responsabilité en matière de droits humains. Delphine Patetif mentionne comme exemples le Guide pratique sur la diligence raisonnable en matière de droits humains (Human Rights Due Diligence Guide), élaboré par le Global Compact Network France et Shift Project ; ou encore le Guide pratique sur le reporting en matière de droits humains (Human Rights Reporting Handbook), développé par Mazars et Shift Project. Les outils d’évaluation sont ceux qui permettent aux entreprises et aux autres acteurs de mesurer et de communiquer sur leurs performances en matière de droits humains. Delphine Patetif évoque comme exemples le Corporate Human Rights Benchmark (CHRB), qui classe les entreprises selon leur respect des droits humains ; ou encore le Reporting and Assurance Frameworks Initiative (RAFI), qui propose des cadres pour le reporting et l’assurance en matière de droits humains.
Laurent Castel est un entrepreneur passionné, spécialisé dans divers secteurs allant du négoce de vin à l’immobilier. Son parcours professionnel est riche en expériences variées, ce qui lui permet de transformer chaque défi en opportunité grâce à une approche proactive et innovante.
Qui est Laurent Castel ?
À 28 ans, Laurent Castel a déjà une vie pleine d’émotions et d’aventures. Son parcours n’a pas été simple : il ne vient pas d’une famille riche et a dû se battre pour obtenir ses succès. Laurent Castel a affronté des obstacles et des personnes qui souhaitaient le voir échouer, mais il a toujours su mener à bien des projets ambitieux à travers le monde.
L’approche de Laurent Castel se distingue par une vision stratégique et une capacité à innover constamment. Chaque échec a été pour lui une occasion de rebondir, et sa résilience est sans limites. Il a eu le privilège de travailler avec des équipes exceptionnelles, de développer des solutions créatives et de réaliser des projets de grande envergure.
Les passions de Laurent Castel tournent autour du sport, qui lui permet de repousser ses limites. Il est également passionné par l’automobile et le ski alpin, des domaines où l’excellence et la précision sont essentielles.
Laurent Castel invite chacun à découvrir son parcours et à explorer comment ses valeurs et expériences façonnent son approche entrepreneuriale.
Valeurs et vision de Laurent Castel
Intégrité et Honnêteté
L’intégrité est au cœur de tout ce que Laurent Castel entreprend. Il s’efforce de rester fidèle à ses principes moraux, agissant avec honnêteté et transparence, tant dans ses relations personnelles que professionnelles. Cette intégrité lui permet de bâtir des relations de confiance et de respect mutuel avec ses collaborateurs et partenaires.
Responsabilité
Laurent Castel prend pleinement la responsabilité de ses actions et de ses choix. En tant qu’entrepreneur, il est conscient que chaque décision a un impact, non seulement sur son entreprise ou ses investissements, mais aussi sur les personnes avec qui il travaille. Cette prise de responsabilité le pousse à s’engager pleinement dans chaque projet et à chercher constamment à s’améliorer.
Vision et But
Avoir une vision claire et un but précis est essentiel pour Laurent Castel afin de donner un sens à ses actions quotidiennes. Il a toujours cherché à définir des objectifs ambitieux et à élaborer des plans stratégiques pour les atteindre. Cette orientation vers l’avenir lui permet de naviguer avec assurance dans les complexités du monde des affaires.
Discipline
La discipline est une valeur que Laurent Castel embrasse quotidiennement. Elle lui permet de rester concentré sur ses priorités et de persévérer face aux défis. Son parcours dans le négoce de vin, le retail, le conseil, la construction, et l’immobilier témoigne de sa capacité à maintenir un haut niveau de performance grâce à une discipline rigoureuse.
Respect
Comprendre et respecter les perspectives des autres est fondamental pour Laurent Castel afin de créer des relations harmonieuses et productives. Il accorde une grande importance à l’écoute active.
Collaboration et Synergie
Laurent Castel croit fermement au pouvoir des synergies. En travaillant ensemble de manière créative et coopérative, il est convaincu que nous pouvons atteindre des résultats bien supérieurs à ce que nous pourrions accomplir seuls.
Renouvellement et Équilibre
Enfin, Laurent Castel est convaincu de l’importance du renouvellement personnel. Prendre soin de soi dans toutes les dimensions de la vie (physique, mentale, sociale) est essentiel pour maintenir un équilibre et une croissance continue. Cette approche lui permet de rester énergique, motivé et prêt à relever de nouveaux défis.
Hedy Lamarr était une femme aux multiples talents qui a marqué le XXe siècle. D’un côté, elle était une actrice glamour et célèbre, connue pour ses rôles dans des films comme “Extase” et “Samson et Dalila”. De l’autre, elle était une inventrice ingénieuse qui a contribué à des technologies révolutionnaires comme le code à barres, le Wi-Fi et le GPS.
Une enfance et une jeunesse viennoises (1914-1933)
Née Hedwig Kiesler en 1914 à Vienne, en Autriche, Hedy Lamarr a grandi dans un milieu aisé et cultivé. Son père était banquier et sa mère pianiste. Dès son plus jeune âge, elle se montre passionnée par les sciences et la technologie, domaines traditionnellement masculins à l’époque. Elle développe également un talent pour la scène et le cinéma, jouant dans des pièces de théâtre et des films dès son adolescence.
En 1933, à l’âge de 19 ans, elle se fait connaître grâce à son rôle dans le film “Extase”, qui la propulse au rang de star internationale. Ce film, qui la montre nue dans certaines scènes, est considéré comme l’un des premiers films “explicites” de l’histoire du cinéma. Il crée un scandale et attire l’attention sur Hedy Lamarr, qui devient une célébrité du jour au lendemain.
Voici une vidéo présentant cette actrice :
Une star hollywoodienne (1933-1940)
Suite au succès d’Extase, Hedy Lamarr signe un contrat avec la Metro-Goldwyn-Mayer et s’installe à Hollywood. Elle devient l’une des actrices les plus glamour de l’époque, rivalisant avec des stars comme Greta Garbo et Joan Crawford. Elle joue aux côtés de grands acteurs comme Clark Gable et James Stewart dans des films à succès tels que “Samson et Dalila” (1949) et “Tortilla Flat” (1942).
Sa beauté et son talent font d’elle une icône du cinéma hollywoodien. Elle est connue pour ses rôles de femmes fatales et exotiques, et sa vie privée est souvent alimentée par des rumeurs et des scandales.
Une inventrice passionnée (1930-1950)
En dehors de sa carrière d’actrice, Hedy Lamarr se consacre à sa passion pour l’invention. Elle est fascinée par les sciences et la technologie et passe beaucoup de temps à lire des livres et des articles scientifiques. Elle est également une bricoleuse accomplie et aime expérimenter de nouvelles idées.
Au cours de sa vie, elle dépose plusieurs brevets, dont un pour un système de communication secret qui a été utilisé par les Alliés pendant la Seconde Guerre mondiale. Elle invente également un procédé pour améliorer les ailes d’avion, un feu de signalisation pour les secours en mer et une version précoce du code à barres.
Le système de brouillage radio (1941)
En 1941, Hedy Lamarr et le compositeur George Antheil inventent un système de brouillage radio qui utilise la technique du “saut de fréquence”. Ce système permet de protéger les communications militaires contre les interceptions ennemies. Il est considéré comme une contribution majeure à la victoire des Alliés pendant la guerre.
Le système de Lamarr et Antheil est basé sur une technologie appelée “saut de fréquence”. Cette technologie consiste à changer de fréquence radio aléatoirement et à intervalles réguliers. Cela rend les communications très difficiles à intercepter et à décrypter.
D’autres inventions et contributions (1940-1960)
Hedy Lamarr ne s’est pas arrêtée au système de brouillage radio. Elle a également inventé un procédé pour améliorer les ailes d’avion, un feu de signalisation pour les secours en mer et une version précoce du code à barres.
Une reconnaissance tardive et un héritage durable (1960-2000)
Malgré ses contributions importantes, Hedy Lamarr n’a pas été reconnue à sa juste valeur de son vivant pour ses inventions. Son travail sur le système de brouillage radio a été classé secret pendant des années et elle n’a jamais reçu de compensation financière pour son invention.
Ce n’est que dans les années 1990 que son travail a été redécouvert et célébré. En 1997, elle a reçu le prix Pioneer Award de l’Electronic Frontier Foundation pour ses contributions à la technologie. Elle est décédée en 2000 à l’âge de 85 ans.
L’héritage d’Hedy Lamarr est immense. Elle a montré que les femmes peuvent exceller dans des domaines traditionnellement masculins et que les inventions peuvent avoir un impact réel sur le monde. Son histoire est une source d’inspiration pour tous ceux qui rêvent de faire une différence.
Une inspiration pour les femmes et les inventeurs
Hedy Lamarr est une inspiration pour les femmes et les inventeurs du monde entier. Elle a brisé les barrières dans deux domaines traditionnellement masculins et a laissé un héritage durable. Son histoire montre que les femmes peuvent être des scientifiques et des inventrices brillantes, et que leurs contributions peuvent avoir un impact majeur sur le monde.
Alice Devès est la co-fondatrice de Petite Mu, le premier média qui sensibilise aux handicaps invisibles. Atteinte de sclérose en plaques, elle raconte comment elle a transformé cette épreuve en opportunité de changer les regards sur le handicap. Avec son équipe, elle propose des contenus originaux, authentiques et drôles pour briser les tabous et libérer la parole. Voici son histoire.
Un diagnostic qui bouleverse sa vie
En août 2021, Alice Devès apprend qu’elle a une sclérose en plaques, une maladie neurologique qui affecte le système nerveux central. Elle a alors 27 ans et travaille comme chef de projet marketing dans une start-up. Elle ne s’attendait pas à ce verdict, qui remet en question son avenir personnel et professionnel.
Elle passe par une phase de déni, puis d’acceptation difficile. Elle doit faire le deuil de sa santé antérieure et apprendre à vivre avec les symptômes de la maladie : fatigue, douleurs, troubles cognitifs… Elle se rend compte que le handicap invisible a un impact social important : elle sort moins, elle est moins performante au travail, elle se sent incomprise et isolée.
Voici une vidéo présentant cette femme :
Une envie de créer un média qui lui ressemble
Alice Devès cherche alors des informations, des témoignages, des parcours inspirants sur la sclérose en plaques et les handicaps invisibles. Mais elle ne trouve rien qui lui corresponde. Elle a envie de lire des histoires vraies, sans tabou ni pathos, avec de la spontanéité et de l’humour.
Elle décide alors de contacter Anaëlle Marzelière, une ancienne camarade d’études, qui est directrice artistique et dessinatrice. Ensemble, elles imaginent un média qui apporte un nouveau regard sur le handicap invisible, en mêlant théorie et témoignages, bande dessinée et vidéo, humour et émotion. Elles le baptisent Petite Mu, en référence à la lettre grecque mu qui symbolise le coefficient de friction.
Un média qui sensibilise aux handicaps invisibles
Petite Mu voit le jour en mai 2022. C’est le premier média qui sensibilise aux handicaps invisibles en France. Il s’adresse aux personnes concernées par ces handicaps, mais aussi à leurs proches, aux professionnels de santé, aux employeurs et au grand public.
Le média aborde des thématiques variées : la santé mentale, les maladies chroniques, les troubles du spectre autistique, la dyslexie, le TDAH… Il propose des contenus originaux et créatifs : des bandes dessinées, des podcasts, des vidéos, des articles… Il adopte un ton authentique et drôle : il ne se prend pas au sérieux, il dénonce les clichés, il fait rire et réfléchir.
Un média qui accompagne les entreprises sur l’inclusion
Petite Mu est aussi une agence qui accompagne les entreprises sur l’inclusion des personnes en situation de handicap invisible. Elle propose des formations, des conférences, des ateliers pour sensibiliser les collaborateurs et les managers à cette thématique.
Alice Devès intervient régulièrement dans les entreprises pour partager son expérience et ses conseils. Elle explique que le handicap invisible concerne 11% des salariés en France et qu’il est souvent mal compris ou ignoré. Elle insiste sur l’importance de libérer la parole, d’adapter les conditions de travail, de valoriser les compétences et de lutter contre les discriminations.
Une femme qui vit son handicap avec dignité et humour
Alice Devès est une femme qui vit son handicap avec dignité et humour. Elle n’a pas laissé la sclérose en plaques l’empêcher de réaliser ses rêves. Elle a créé un média qui lui ressemble et qui fait du bien à des milliers de personnes. Elle est un exemple de résilience, de courage et d’optimisme.
Elle nous invite à changer notre regard sur le handicap invisible, à le reconnaître, à le respecter, à le soutenir. Elle nous montre que le handicap n’est pas une fatalité, mais une richesse. Elle nous fait rire, elle nous émeut, elle nous inspire.